Conventions (f)

Entrées

Les entrées sont classées par ordre alphabétique.
Lorsque cet ordre disperse des entrées ayant trait à une même thématique, elles sont regroupées et ordonnées sous cette thématique.

Par exemple les entrées consacrées à l’analogie sont les suivantes :
Analogie (1) : la pensée analogique
Analogie (2) : le mot et le concept
Analogie (3) : analogie catégorielle (arg.)
Analogie (4) : analogie structurelle (arg.)

Métaphore, Comparaison, Proportion figurent à leur place alphabétique.

Entrée principale et entrée secondaire

Une entrée principale est une entrée standard.
Une entrée secondaire a la forme suivante:

Ambiguïté ► Accent
Se lit: Entrée secondaire (voir) entrée principale

Dans certains cas, la mise en ligne  efface la différence.
Je regarde de plus près

Noms latins des arguments

— Les noms latins des arguments usités sont à leur ordre alphabétique, par exemple, Ad hominem.
— Les noms latins des arguments peu usités figurent en entrées secondaires.

Des listes d’étiquettes se trouvent sous les entrées:

Arguments a, ab —
Arguments ad —
Arguments e, ex —

Les termes latins sont suivis d’une traduction, parfois accompagnée d’un bref commentaire de leur forme et de leur sens.
Ces indications sont tirées notamment du Dictionnaire illustré latin-français de F. Gaffiot, 1934.

Les termes grecs sont notés dans la graphie grecque et dans la transcription  en alphabet latin. Le but est de permettre au lecteur non spécialiste du grec d’utiliser les dictionnaires grecs.

 

Forme de l’entrée

L’entrée est constituée:
— D’un mot seul (Persuasion)
— D’un mot suivi d’un syntagme qui précise le sens qui va être défini :

Causalité (I)
Causalité (II) : le lien causal
Causalité (III) :arg. de la cause à l’effet
Causalité (IV) : arg. de l’effet à la cause ► Conséquence

— D’un mot suivi d’un syntagme dont il constitue la tête.
Par exemple, la forme “[Entrée], arg. xxx —]  se lit de différentes manières, par exemple :

A pari, arg.  : “argument, argumentation a pari”.
Définition, arg. par la —   : “argument, argumentation par la définition”.
Cas par cas, arg. au  — =  “argumentation au cas par cas”.
Silence, arg. du — : “argument du silence”

L’entrée correspond à un type d’argument ou d’argumentation qui peut, par ailleurs être considéré comme fallacieux, soit dans l’absolu, soit dans certaines circonstances.

La forme < [entrée], fal. > : se lit “fallacie de [entrée], et signifie que l’entrée a été principalement discutée dans le cadre de la théorie des fallacies.

 

Renvois : ► ; V. ; @

Cette flèche est utilisée dans les entrées secondaires.
Elle indique que le terme qui la précède est défini à l’entrée qui la suit :

Accent Paronymie
se lit : “ Le concept Accent est défini sous l’entrée Paronymie”.

Elle ne signifie pas que le terme de gauche est synonyme du terme de droite.

V. et [xxx]@

Ces deux notations sont utilisées de façon absolument équivalente pour renvoyer à une entrée ou à une suite d’entrées où l’on trouvera des informations complémentaires sur des termes liés à l’entrée concernée.
La notation  Comparaison@ permet d’éviter une répétition ; Elle est utilisée comme abréviation du texte : “……… comparaison, V. Comparaison ……”

— Lorsque l’indication V. renvoie à plusieurs entrées, les noms de ces entrées ne sont pas ordonnées.

— Lorsque l’indication V est suivie d’un nom correspondant à plusieurs entrées, le renvoi vaut pour toutes ces entrées. V. Contraires renvoie aux entrées :

Contraires et contradictoires
Contraires, arg. par les —
Contraires, termes —

— Il n’est pas possible de marquer tous les renvois qui seraient mécaniquement nécessaires ; cela impliquerait par exemple que toutes les occurrences des mots argument ou argumentation soient accompagnées d’un renvoi aux entrées correspondantes.

Astérisques *

— Placé avant un mot ou un énoncé, l’astérisque signifie que ce mot ou cet énoncé ne sont pas en usage, ou que l’énoncé semble difficilement acceptables hors d’un contexte ad hoc.

— Placé avant l’énoncé conclusion d’un syllogisme, l’astérisque signifie que cette conclusion ne découle pas des prémisses.

 

Citations
Les citations respectent, dans la mesure du possible, l’orthographe, la ponctuation et la typographie des textes cités.

Exemples

Numérotation des exemples

Si nécessaire, les exemples sont numérotés..
La numérotation est strictement locale. Elle change lorsqu’on change de contexte.

Citations

Les exemples cités sont suivis d’une référence simplifiée, complétée en note. 

Les exemples  proviennent de locuteurs engagés dans une activité argumentative.
Certaines exemples peuvent provenir de théoriciens engagés dans une argumentation. Par exemple, Chomsky est cité comme théoricien, sous l’entrée Ambiguïté et comme théoricien argumentateur sous l’entrée Contre-Argumentation.

Certaines citations théoriques proviennent de locuteurs commentant leur pratique argumentative. Par exemple, Erasmus est cité dans l’entrée Conditions de discussion, pour une remarque théorique qu’il a développée lors de sa dispute avec Luther.
Ce cas est typique de ce qui se passe dans les situations argumentatives, où la théorie de l’argumentation se développe avec la pratique.

 

Indications bibliographiques

Les citations aux textes théoriques sont faites sous la forme (Cosnier 1994, p. 12).

Afin de ne pas écraser les références sur les dix dernières années, les dates de première parution du texte cité sont indiquées entre crochets. la page citée renvoie au texte tel qu’il est référencé en bibliographie.

(Perelman, Olbrechts-Tyteca [1958], p. 5) renvoie, en référence bibliographique, à l’entrée:

Perelman, C., Olbrechts-Tyteca, L., [1958]/1976], Traité de l’argumentation – La Nouvelle rhétorique, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles.

La page indiquée étant celle de l’édition de 1976.

L’indication de la page peut être précédée, dans cet ordre, de l’indication du livre et de la section, si l’ouvrage cité comporte de telles divisions. Elle est suivie du numéro de(s) page(s) de la traduction utilisée.

Auteurs anciens

Pour les auteurs anciens cités, nous n’avons pu nous résoudre à la forme (Aristote 2021) ; la référence se fait par une forme abrégée du titre (Aristote, Rhét.), qui sera développée en bibliographie.

(Aristote, Rhét., II, 23, 1397b15)
([Auteur] [Titre abrégé] [Référence classique, Page de l’édition citée])

Les citations classiques des textes latins et grecs renvoient au dernier numéro de ligne figurant avant la citation. Si la citation s’étend sur plusieurs lignes, ce numéro est suivi du premier numéro de ligne suivant la citation.

Quand plusieurs traductions du même texte ont été utilisées, le nom du traducteur est précisé dans la référence

(Aristote, Rhét., II, 23, 1397b15; Chiron, p. 381)

 

Abréviations usuelles en grammaire élémentaire

Sg = singulier Pl = Pluriel
Subst = substantif, N = nom
V = Verbe Adj = adjectif
Adv = adverbe Prép = Préposition
PPrst = Participe présent PP = Participe passé
qn = quelqu’un

Dialogues et interactions

Dialogues schématisés

Dans les petits dialogues permettant de schématiser la situation correspondant à tel ou tel phénomène argumentatif, les locuteurs sont désignés par L1 et L2.

Si le dialogue comprend plus de deux tours de parole, on notera le premier tour de L1 comme L11 le second L12 , etc. ; de même pour L2: L21 , le second L21 ,

Transcription des données orales

A simplified set of symbols is used for the transcription of oral talk.

\ marks falling (closing) intonation, corresponding to a period in written language, and is characteristically used in categorical affirmation.

/ marks rising intonation, used, among other cases, in questions.

hyphen is used to mark an incomplete word.

…  notes an unfinished sentence (a syntactic rupture in the text).

(.), (..), … note the length of a silence.

:: notes a lengthened syllable.

“this is REALLY important”: capitalization notes a segment said with a strong voice.

xxxx notes a meaningless /uninterpretable sequence of sounds.

The partners of transcribed authentic interactions are given their name in the case of public interactions, or a pseudo in the case of private interactions.

 

Périodisation historique

Antiquité, Grèce et Rome anciennes, de l’origine au 6e siècle de notre ère.
Moyen Age : du 6e siècle à la Renaissance, 15e – 16e siècles
Temps modernes: De la Renaissance au 19e siècle
Période contemporaine : De la fin du  19e siècle à la période actuelle

 

Syldavie, Sidonie

La Syldavie et la Sidonie sont des pays fictifs.
Syldavie vient de Hergé, Les Aventures de Tintin.

Ibid. and id.

Ibid. is used to refer to the same author, same year, same work, same page as the last one previously mentioned.

Id. is used to refer to the r to the same author, same year, same work, as the one previously mentioned and is followed by a new page number.